La famille
La famille est une structure veille depuis des millénaires, cette structure sociale à été d’une importance fondamentale dans l’évolution de l’humanité, aussi bien que celle-ci perdure encore aujourd’hui. Mais tout comme la chasse fut un moyen ancestral de se nourrir, il eut fallu un moment cesser ce modèle pour évoluer, et passer à l’élevage. Pour comprendre ceci nous allons lire ensemble le dialogue suivant :
Rémus :
Veux-tu te marier avec moi? Tu es si belle, si gentille, si perspicace, si bien!
Dominia :
Non tu sais très bien que je sors déjà avec Jeanus! Comment oses-tu me demander ça, n’as tu donc aucune moral?
Rémus :
Mais de quel moral me parles-tu? J’ai quarante ans et je n’ai encore fondé aucune famille, je suis désespéré, et par ton incompréhension je le suis encore plus. Peut-être ce soir irai-je me pendre, et parce que j’ose te demander en mariage tu me traite d’immoral!
Dominia :
Cesse ton chantage, tu vas trouvé une femme un jour, ne désespère pas!
Rémus :
Mais que dis tu, j’ai quarante ans et tu me parle d’espoir, maintenant que je vieilli! Maintenant que ce que j’ai de beauté s’envole.
Dominia :
Mais tu crois être inutile parce que ce modèle vieillissant de la famille t’obsède, mais comment oses-tu considérer l’homme comme un simple animal, lui qui est capable de bien plus de choses, que sa seule faculté de procréer. Et si tu veux à tout pris éduquer des enfants, devient instituteur.
Rémus :
Mais avoir une famille, c’est construire quelque chose de grand, et instituer les valeurs morale fondamentales à ses enfants, ce qu’en tant qu’instituteur je ne peux faire. Et de plus qu’elle plaisir de regardé le doux visage de sa dulcinée le matin dès le lever, quel beau réveil avant de commencer une dure journée de travail. Puis qu’elle satisfaction de la revoir le soir, et de goûter ses succulents repas qu’elle à préparer avec amour pour le bonheur de son mari et de ses enfants.
Dominia :
Mais que dire de tout les laissés pour compte, de plus tu en fais partie, certains deviennent des tueurs, des assassins, des violeurs, d’autres plus raisonnable se suicide, puis d’autre encore plus raisonnable subissent. Le modèle familiale créer une barbarie sentimentale, c’est le plus fort qui gagne comme Jeanus, et d’autres comme toi , souffre car une moral m’empêche d’ être avec plusieurs hommes en même temps, et à vrai dire j’agit comme ceci par la pression populaire, je ne veux pas être considéré comme une catin.
Rémus :
Mais que veux tu dire par là? Que je te plais?
Dominia :
Non mais que si je n’ai jamais rien fait avec toi, ce n’est pas parce que je n’est jamais rien ressenti pour toi. Les maladies sexuellement transmissible, le contrôle des natalités, voici en quoi la rigueur moral est importante, mais depuis des millénaires les infrastructures ont changé, les mœurs doivent donc suivre d’une manière cohérente ces évolutions .
Si tu as un manque d’affection, je peux très bien t’aider, mais je devrais cacher cette aide et elle ne pourrai être que ponctuelle.
Rémus :
Mais tu racontes n’importe quoi, tu es en délire total, la famille à toujours exister, et au il y a toujours eut des forts et des loosers , même si je fais partie de ses derniers!
Dominia :
Mais ouvre les yeux imbéciles, les médecins qui aides les faibles, ou les loosers comme tu les appelles, eux ne sont pas naturel, c’est l’homme qui à inventer ceux-ci pour venir en aide aux laisser pour compte d’ordre physique. Et quoi que tu en dises la famille implique forcément des laissés pour compte sentimentale, et c’est pour cela que je la critique. Car ceci cause des frustrations qui sont la cause de nombreuses barbaries. Le portrait que tu as fais de la famille est très mignon, mais très puéril car il n’as pas pris compte les différents prétendant à la femme comme du mari, qui n’ont pas forcément trouvés d’autres personnes qui les ont aimés en retour, et qui ont forcément eu un dégoût de la vie, qu’il ont pu manifester par des actions injustes et barbares. Et si tu pense que je vais trop loin, c’est pas parce que je par en délire, mais uniquement parce tu as une fainéantise d’esprit qui t ‘empêche de voir plus loin que le simple prêt à penser qui t’est inculqué chaque jour quand tu regardes la télé.
Rémus :
Alors toi tu me dis ça! Mais c’est facile, moi je galère, j’ai jamais connu la vie de couple, puis je devrais ne pas essayer de la rechercher. Si j’ai une opportunité je l’as prend, et quiconque essaye de casser mon bonheur, je lui casse la tête!
Dominia :
Mais tu es vraiment bête, tu te comporterai comme un barbare. Cette discussion ma ouvert les yeux, à présent je ne suivrai que ma raison et me ficherai de se que puisse dire les foules. Si tu galères, vu que tu es mon amis je vais t’aider, et si Jeanus se comporte comme un imbécile, je le laisserai tombé. Je n’ai pas besoin d’incompétent autour de moi, et comme Hari Seldon le disait « la violence est le dernier refuge de l’incompétence ».
Rémus:
Enfin tes actes rejoignent tes paroles! Je comprend mieux maintenant. Si j’ai fait des remarques si stupides, c’est parce que je ne croyais pas sincère dans ta réflexion.
Dominia :
Heureuse de t’entendre dire ça! Mais je n’ai pas fini. Tu as dis que l’instituteur n’avais pas à apprendre les valeurs morales, mais pourquoi, c’est honteux de dire ceci, chaque enfant doit apprendre à vivre selon les normes de la société dans la quel il vit, et attendre cette apprentissage des parents est stupide, car ceux-ci peuvent en enseigner de mauvaises, comme par exemple des parents qui enseignerait à leurs enfant que les noirs et les arabes sont tous méchants, ou le contraire une famille algérienne qui dirait à ses enfants que la France est un pays de mécréants et qu’il faut déstabilisé le plus possible ce pays.
Non l’éducation est une chose trop importante pour être confié aux parents, il faut un système alternatif à la famille, car aujourd’hui nous pouvons créer une nouvelle structure sociale, grâce aux différents progrès qui ont été réalisés en psychologie, sciences sociales, génétique, et contraception.
Rémus :
Mais oui, si notre société s’écroule c’est parce qu’on se base sur des structures inadaptées aux différentes mutations de la sociabilité humaine.